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Caroline – Road trip en famille au Mozambique

24 mars 2023
Mozambique en famille

Le Mozambique en famille

Hello, Hello,

Maman aventurière de 2 enfants, Caroline a créé Voyage Family en 2015 pour partager sa passion du voyage avec les enfants et vous aider concrètement à organiser vos vacances et vos week-ends en famille. Car pour Caroline, les enfants qui voyagent en conscience seront les citoyens curieux et ouverts dont nos sociétés ont besoin…

Ça vous dit quelque chose ?

C’est normal, Caroline nous a raconté ses chouettes vacances en famille à Lacanau dans l’épisode 35. Ok ça date un peu, il était temps qu’elle revienne.

Cette fois, Caroline nous emmène au Mozambique où elle a fait un road trip de 3 semaines avec son mari et ses enfants de 11 et 14 ans l’été dernier de Maputo à Vilankulo. Ce pays, encore méconnu, est une pépite qui regorge de spots à baleine, de dunes incroyables, de plages de rêve…

Allez, c’est parti pour le carnet de routes de Caroline au Mozambique.

 

Préparer un road trip en famille au Mozambique
Le Mozambique en famille

Où se trouve le Mozambique

C’est en Afrique, entre l’Afrique du Sud et la Tanzanie, très long, puisqu’il s’étend sur 2 000 km

 

Est-ce que tu le connaissais déjà ?

Non c’était la première fois. Je suivais des familles qui étaient en voyage au long cours en Afrique et il y en a eu 2 de suite, Oamok family et Ubunto.overland, qui m’ont titillée avec leurs images, et c’est de ça dont je rêvais.

 

Combien de temps êtes-vous restés au Mozambique ?

3 semaines.

 

Comment as-tu organisé ton voyage au Mozambique ?

On est passé par une agence et c’est la première fois. Je travaille avec des partenaires pour Voyage Family vers lesquels je redirige les familles qui cherchent à être accompagnées. J’en ai une qui travaille sur l’Afrique australe donc c’était le moyen de les faire travailler, de voir ce qu’elle proposait sur le Mozambique pour ensuite renvoyer les familles vers elles.

 

Est-ce qu’il y a des choses à savoir avant de partir au Mozambique ?

Il y a 2 choses étonnantes à savoir :

  • C’est un pays d’une douceur rare, il n’y a pas beaucoup d’autres endroits où on a vécu cette douceur là –
  • Il n’y a qu’une seule route bitumée, avec des nids de poule, autour de laquelle il n’y a que des pistes ensablées qui peuvent durer de 15 min à 2h/2h30 et plus ou moins faciles à appréhender.

On s’est ensablés souvent mais on s’est toujours désensabler sans problème et quand on n’y arrivait pas on appelait la personne chez qui on logeait qui venait nous aider à sortir de là avec son 4X4.

Ça fait partie du voyage et si on n’a pas envie de ça, il ne faut pas aller au Mozambique !

Si comme nous on aime un peu l’aventure et que ça fait marrer tout le monde de désensabler la voiture, c’est parfait.

Il faut aussi un visa et un passeport valable au moins 6 mois après le retour comprenant 2 pages vierges face à face.

 

C’est parti pour 3 semaines en famille au Mozambique
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Quel itinéraire vous avez suivi ?

On a suivi la côte de Maputo, la capitale, à Vilankulo, qui est la seule grande ville qu’on ait vue entre les 2. Les gens font souvent l’aller-retour et l’avantage de passer par une agence c’est qu’on a eu la possibilité de laisser la voiture à Vilankulo, ce qui a un coût évidemment mais on ne perd pas 2 jours à re descendre avec les frais que cela suppose de nourriture et d’hébergement. Et quitte à se payer un voyage comme ça, un voyage cher qu’on ne fait sans doute qu’une fois dans sa vie, ça vaut le coup de ne pas mégoter sur les quelques euros que cela génère en plus.

 

Combien d’heures d’avion pour aller au Mozambique ?

20h, porte à porte, avec 2 escales dont du temps en Afrique du Sud.

C’est un pays qui se mérite, c’est pour cela aussi qu’il y a très peu de touristes et donc il n’y a pas beaucoup d’infrastructures sur place.

 

C’est quoi vos premières impressions quand vous y arrivez ?

J’ai tout de suite été étonnée de la coolitude de cette capitale africaine, avec pas tant de monde que ça sur la route. Et le plaisir de retrouver l’Afrique après un voyage au Benin mais sans mes enfants. Je rêvais de leur montrer l’Afrique. Ils connaissent très bien l’Afrique du Nord mais ce n’est pas du tout pareil.

Ça fait partie des noms magiques, je ne pensais jamais arriver à Maputo un jour et il y a toujours cet effet waouh de se dire ça y est on y est.

 

Maputo
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Il n’y a pas grand-chose à faire à Maputo.

On est restés 2 nuits, le temps de se remettre du voyage. On se balade dans le centre-ville, il y a de beaux vestiges du passé colonial portugais. On avait pris un guide qui parlait français pour nous parler du centre. Il y a quelques marchés mais ce n’est pas une ville où on reste des jours, ou alors on est passé complètement à côté !

Je ne conseillerais pas de partir tout de suite non plus car il faut pas mal d’heures pour atteindre le premier endroit sympa. C’est bien de rester 2 nuits pour atterrir. On avait une super guesthouse qui s’appelle Figtree, une maison avec 3 ou 4 chambres et une jolie piscine. En plus on a rencontré une maman solo avec sa fille avec qui on a sympathisé et qu’on a retrouvé souvent après !

C’est la magie des road trips.

 

Le Lac Nhambavale
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Une première étape logistique

On est allé vers le nord au Lac Nhambavale dans la région de Chidenguele. Il y a beaucoup d’eau douce au Mozambique. C’est la 3e chose qui m’a marquée : il y a la mer, des dunes de sable et très souvent, notamment sur le trajet qu’on a fait, des lacs. D’ailleurs on boit l’eau du robinet au Mozambique, l’eau douce étant filtrée par les dunes. On s’est arrêtés sur un de ces premiers lacs, car on met déjà presque 4h pour arriver de Maputo. On conduit à gauche donc ça nous a permis de prendre la voiture en main sur cette route principale bitumée où il y a beaucoup de monde.

 

La police

On avait un peu peur en arrivant de se faire arrêter pour tout et n’importe quoi par la police et de se faire racketer. Or, si vous ne dépassez pas la limitation de vitesse, très stricte, vous ne vous ferez jamais arrêter. Il n’y a pas d’abus de la police mais ils sont partout, donc au moindre dépassement, ça tombe. Et évidemment ce sera plus cher que pour les locaux. Ça nous est arrivé une fois, on a payé 20 euros, ce qui est beaucoup pour là-bas. Il y a des tronçons où c’est limité à 50 ou 60, bien en amont des villages, donc parfois on a vraiment envie d’accélérer mais je ne vous le conseille pas car vous avez une chance sur 2 de vous faire arrêter.

 

Comment s’est passée la première piste ?

L’agence de location nous a donné un véhicule beaucoup trop bas par rapport à ce qu’avait demandé l’agence de voyages. On ne s’est pas méfiés donc on s’est ensablés. On a bien rigolé et un instituteur qui passait par là à mobylette nous a aidés. C’est aussi l’occasion de rencontrer des gens.

On est arrivés dans notre guesthouse sans plus d’encombres que cette demi-heure perdue sur la piste.

On a fait du paddle, on s’est baignés, c’était très agréable. Et les enfants se sont tout de suite fait des copains lors d’une balade. On ne se déplace jamais sans un ballon de foot parce qu’on a 2 passionnés. On les a laissés seuls à jouer avec les enfants du village d’à côté.

 

Quissico
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Une ville & un hébergement

Bulbul Backpacker se trouve à 20 min de la route principale, sur une piste.

C’est à mon sens un stop incontournable du voyage.

On dort chez Diederick et Arsenia qui est mozambicaine. Le soir on mange avec eux, leurs enfants et les autres hôtes. Ce sont des cabanes en bambou, c’est assez « sommaire » mais on a tout le confort dont on a besoin. On est en haut d’une dune avec la mer d’un côté, qu’on ne voit pas mais qui est juste derrière et le lac de l’autre. Et le soir on papote au coin du feu avec les gens qui sont là.

On y est restés 3 nuits, on rencontre des gens atypiques car pour être là, faut l’avoir choisi. Ce sont des gens avec des histoires rigolotes, donc on a fait de belles rencontres.

 

Comment les autres personnes arrivent jusqu’à cet hébergement ?

C’est vraiment du bouche à oreille.

On a rencontré une famille avec 7 ou 8 enfants qui vit au Mozambique depuis 15 ans, lui a monté une école de menuiserie et elle a monté un dispensaire et ils sont au fin fond du Mozambique. Ils ont dû créer leur propre école pour que leurs enfants aient accès à une éducation de qualité. Il y avait aussi un blogueur qui voyageait à pied depuis 10 ans…

 

Que faisiez-vous de vos journées ?

On a fait des randos sur le lac, sur la mer

C’est la pleine saison des baleines.

Ce qui veut dire qu’on voit des centaines de baleines depuis la plage ! Elles sont plus ou moins proches. Faire des rando en regardant les baleines, c’est plutôt chouette.

Le Mozambique n’est pas un pays développé donc il n’y a pas beaucoup de choses à faire : on se balade, on profite des gens qu’on rencontre… on prend le temps. On se lève très tôt parce qu’il n’y pas beaucoup de volets, on se couche vers 21h/22h parce qu’il n’y a rien à faire le soir, à part jouer avec ses enfants et boire des coups. Ça nous a fait bizarre le premier soir mais du coup j’ai fait pratiquement tous les levers de soleil.

Ce n’est pas une destination pour les gens qui aiment enchainer les visites, mais on ne s’est jamais embêtés, on était toujours dehors à se balader.

 

Les Dunes de Dovela
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Un autre petit paradis !

Elles n’existent touristiquement uniquement parce qu’un homme, Thomas, a décidé d’y implanter une guesthouse. C’est même lui qui lui a donné ce nom à ce lieu magique avec des dunes sublimes.

Et là pareil, on regarde les baleines, on a fait des randos jusqu’à un autre lac où il a installé un canoé. On peut aussi faire du bodyboard car c’est un endroit où l’océan est plus calme. Par exemple à Quissico on ne s’est pas baignés. En fait ce sont des plages sublimes, avec personne, donc on n’avait pas envie de prendre de risque. On se baigne dans les lacs qui sont derrière. Il y en a toujours un à proximité.

Nous sommes restés 3-4 jours, on préfère faire moins de stop et profiter vraiment des lieux. C’est notre manière de voyager,

 

Quelle température faisait-il ?

C’est l’hémisphère sud donc c’est l’hiver mais il fait 25 la journée et en jean et pull le soir.

 

Tofo
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Un village de surfeurs et de pêcheurs

C’est un peu plus touristique par rapport à Quissico et Dovela, où il n’y avait même pas d’épicerie. On n’achète rien au Mozambique qui est un pays très pauvre. On voulait faire un pique-nique un jour, mais il y a des endroits où on ne peut même pas acheter du pain et une vache qui rit. On mange ce qu’ils produisent.

Tofo c’est une petite ville avec une vingtaine d’hébergements, des restaurants mais ça reste toujours cool et il n’y a pas grand monde. On n’est pas sur une station balnéaire mais un village qui s’est bien développé grâce au tourisme. Il y a des spots de surf pour les débutants mais aussi pour les bons. Nous, on a le niveau pour prendre une vague et se mettre debout mais pas beaucoup plus et c’est parfait.

 

Les activités

Il y a pas mal d’activités à faire et beaucoup de gens vont directement à Tofo sans s’arrêter à Quissico et Dovela. C’est un haut lieu de la plongée sous-marine, on peut aussi observer les baleines, on a visité une usine de production d’huile de coco solidaire Boa Gente créée par Marie, une française… on y est restés 4 jours.

 

Vous avez profité des restaurants ?

Oui il y a des super restaurants, dont un qui n’est pas la plus touristique, Tofo Tofo, spécialisé dans les fruits de mer, dans lequel on a mangé de la langouste pour 10 euros. Il y a aussi Branko, une excellente pizzeria mais c’est un bouiboui avec 4 tables… à la mozambicaine.

 

Travessia Beach Lodge
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C’est un endroit qui fait un peu doublon avec Dovela.

Ce n’était pas forcément nécessaire mais ça permet de couper la route. On a fait une super balade avec une personne de l’hôtel dans le village d’à côté, où il vivait. Il connaissait tout le monde, enfants et adultes, on y a passé 3h et c’était aussi super pour ça.

Après c’est un endroit magiquissime avec une plage de rêve perdue au milieu de la nature, des cocotiers. C’est toujours des petits bungalows posés quasiment sur la plage donc ça reste magique, mais c’est vrai qu’on avait 3 semaines. Si on a moins de temps, faire l’un des 2 c’est déjà très bien.

 

Pomene
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Un village perdu

Comme Quissico, l’agence était étonnée que je leur demande Pomene ! C’est un endroit que j’avais découvert également grâce aux 2 autres familles. Il y a 2 guesthouses, aucun restaurant et on est dans une réserve naturelle à 2h30 de piste et des sacrées pistes ! Heureusement on avait changé de voiture et mon mari avait déjà eu 2 semaines d’entrainement.

C’est une vraie aventure, la piste est sublime, on a croisé aucune autre voiture en 2h30. On a dormi dans une petite guesthouse sommaire, toujours des petites cabanes, chez Yann. On se demande comment il a pu se poser là, car tous les jours ou 2 jours il fait les 2h30 de piste pour aller acheter à manger, de l’eau… c’est un ancien surfeur pro. Il n’y a aucun magasin, donc il nous a prêté les siennes et on a pu surfer. On est restés 3 jours.

 

Encore de belles balades ?

Un petit peu moins, la nature est moins luxuriante mais le village est vraiment sympa, il y a de la mangrove tout autour. J’aurais pu rester 1 semaine chez Yann à surfer, me balader, manger, il a un four à pizza…

 

Qu’est-ce que vous avez mangé ?

Beaucoup de poissons grillés, des currys, des langoustes puis des crabes en se rapprochant de Vilankulo. D’ailleurs certains hébergeurs/restaurateurs confient des glacières aux touristes pour amener les crabes et les langoustes aux uns et aux autres.

 

Pourquoi les agences ne proposent pas Pomene et Quissiko aux touristes ?

Tout dépend ce que les gens cherchent ! Pour Pomene il ne faut pas avoir peur de se lancer dans 2h30 de piste avec parfois des endroits où cela ne capte pas. Ils ne connaissent pas forcément tous les endroits non plus, c’est vraiment des adresses qui circulent en bouche à oreille.

 

Vilankulo
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Retour en ville

Vilankulo est une ville de pêcheurs tournée vers le Canal du Mozambique, avec un aéroport. On y trouve un tourisme de lune de miel avec de très beaux hôtels. C’est une ville touristique mais rien n’est fait pour le touriste.

C’est avant tout un grand marché dans le centre ville, hyper vivant. Il y a plein de rues qui sont en fait des pistes et il n’y a pas de restaurants.

Enfin si on est allés dans un restaurant qui s’appelle Leopoldinas, et on est clairement chez elle et c’était super bon mais je ne sais plus ce qu’on a mangé. Ou chez Zita. Il faut juste aller au-delà du cadre car c’est très bon.

 

Qu’est-ce qu’on fait à Vilankulo ?

Alors là il y a plein de choses à faire. C’est une ville qui vit au rythme de la pêche et des marées et tout est tourné autour de cette plage qui est incroyable avec une eau sublimissime. Quand la mer se retire, il reste les barques de toutes les couleurs, posées sur le sable, on peut faire des balades, se baigner quand elle est haute, on joue au foot… c’est vraiment très chouette.

 

L’archipel de Bazaruto

Et en face il y a cet endroit dingue. Ce sont des îles avec des dunes qui tombent à pic dans l’eau, je crois qu’il y en a une qui est habitée et avec quelques hôtels où le commun des mortels ne peut pas dormir. Ce ne sont pas des grosses structures mais des bungalows de luxe sur la plage. On peut faire des excursions à la journée, c’est un haut spot de kite surf.

 

C’était une bonne étape pour finir ce road trip ?

Oui et j’ai beaucoup aimé Vilankulo, car c’est hyper authentique et que ça fait du bien de retrouver l’énergie de la ville après 3 semaines de cabanes perdues au milieu de la nature.

 

Vous avez dormi où ?

Ce n’est pas l’hôtel que j’ai préféré, mais il y en a un où j’aurais adoré dormir, qui est cher mais qui est très chouette, c’est Casa Babi. Il y a 4 chambres, ils sont posés sur la plage avec tous les pêcheurs. C’est une adresse qui est prise d’assaut donc il faut réserver très tôt.

Il y a plein d’autres adresses et je recommande notamment Baobab Beach Backpapers qui est juste à côté.

 

Si tu ne devais retenir qu’un moment de ce voyage en famille au Mozambique ?

Pas facile mais sans trop réfléchir, celui qu’on a passé chez Bulbul Backpacker à Quissiko !

Et les enfants ?

Mon fils je crois qu’il n’a pas mis une paire de chaussures pendant 3 semaines, on a pas vu le bitume pendant tout ce temps-là. Une vraie robinsonade et ça ils adorent.

Côté wifi, il n’y en avait pas beaucoup mais, même s’ils aiment ça, comme tous les ados, ça ne les dérange pas quand il n’y en a pas, ils aiment la nature.

 

Quel budget pour un voyage au Mozambique en famille ?
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4 000 euros/personne pour 3 semaines.

Ce qui coûte cher, c’est l’avion plus le visa (1 300 + 75 euros/personne), la location de voiture, pas l’essence. Pour les hébergements, il y a moyen de se faire plaisir et donc de faire grimper le budget.

Il faut également prendre la malarone, un anti palu, qui n’est pas donné non plus.

Je vois passer de nombreuses demandes pour la Tanzanie actuellement et c’est le budget de 2 semaines.

C’est un voyage exceptionnel, qu’on ne fera pas tous les ans !

 

Pour retrouver Caroline

 

Pour finir

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On se retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode.

D’ici là, prenez soin de vous, inspirez-vous et créez-vous de chouettes souvenirs en famille !

 

Stéphanie

Crédit music : Luk & Jo

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